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UN REVE D'ETOILES ET DE LA VIE, PARTIE 2

Par PHILIP ANDERSSEN
Publié le: jeudi 10 janvier 2013


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C'est précisément cette absence de règles qui accorde la liberté effrénée interprétation. «C'est l'une des grandes choses au sujet des grandes œuvres d'art qu'ils peuvent supporter et, en fait, qu'ils invitent-a superplenitude de lectures possibles, certains d'entre eux contradictoires» (Weschler 59). Est-ce? N'est-ce pas plutôt la critique très celui qui crée un superplenitude de sens en raison d'une absence totale de règles pour l'interprétation? Lorsque des conventions sont en interprétation pénurie semble fonctionner refuge dans le sujet qui interprète, et il est alors quand "l'esprit prend en charge à la place et s'en va sur une vision exotique" (Forster 261). L'acte d'interprétation est alors redirigé et prend comme pivot n'est pas la peinture, mais les très individuel; possibilités illimitées, ainsi que les contradictions omniprésentes vous promets de saturer l'interprétation. Susan Sontag, dans son essai intitulé «Against Interpretation», rend compte de cette interprétation quand elle décrit comme un acte ou un geste de l'esprit qui doit être lui aussi évalué en raison de sa dépendance à l'égard de la personne ou peut-être de la société (758). Comment pouvons-nous résoudre ce dilemme?

L'indice de l'est de comprendre la nature de l'art. Nous devons prendre conscience que l'art se trouve dans un domaine de l'expression, un état de la création, où l'artiste habite pour ce qui est nouveau, il souches de nouvelles façons de verbaliser son bonheur, sa tristesse, son ravissement, sa douleur, son amour, sa peur , pour les rendre uniques. Nous pouvons reconnaître ces sentiments-en fait, ils se produisent à toute personne, mais l'artiste transforme la façon de les exprimer: l'art, il va utiliser cette image ou de ce que parce qu'il engendre certains sentiments. Mais c'est finalement son appel. L'artiste va développer ses propres règles, les règles de création, son règles. "Si vous respecté les règles et rien d'autre, ce qui pourrait vous arriver?" (Callow 245). Il semblerait donc comme une activité mystérieuse et inutile d'essayer de découvrir ces règles, mais l'artiste ne les cachait pas: ils sont là, sur la toile, mais ils parlent avec la langue d'expression, un langage qu'il faut d'abord se sentir avant d'essayer d'analyser grammaticalement. "Malheureusement, cette infection, ce sens de la coopération avec un créateur, qui est l'étape extrêmement importante dans notre pèlerinage à travers les beaux-arts, est la première étape sur laquelle la critique ne peut pas aider» (Forster 117).

"La Nuit étoilée" criait de se faire entendre, mais l'interprétation est ici comme point de départ la plus futile des possibilités. Quelle convention pourrait-je utiliser? J'ai eu le sentiment que ce tableau a été bourré de règles, les règles de Van Gogh, et ils étaient là, en quelque sorte, parce qu'il les ya placés. J'ai juste eu à voir.

C'est ce que je vois.

A priori c'est un ciel de nuit transfigurée ce inonde l'œil: une vaste partie de la toile est à peine recouvert par elle. Un ciel émotionnel, tonnerre, turbulent, violent. Un ciel qui domine l'esprit non préparé. Qu'est-ce qui m'attire le plus cependant, n'est pas seulement une idée de l'infini qui m'inspire, mais la «grande nébuleuse spirale enroulement" comme Meyer Schapiro appelle, une forme gigantesque et fantastique renouvelable de bleu qui fait irruption dans le ciel avaler ce qu'il ya dans l'voie. Le ciel est coloré par onze étoiles agrandies et une lune assez étrange aussi. Il s'agit d'une lune quasi-soleil, comme si la lune et le soleil ont été verrouillés dans une lutte pour la suprématie, évoquant en moi un sentiment intense de turbulence. La seule partie de l'avant-plan que l'on voit est la partie supérieure d'un cyprès, un scintillement comme le feu dans toute sa grandeur. En bas, une petite ville tranquille protégé par les collines ondulées semble être égaré: il n'y a pas de mouvement, à l'exception de l'église: il a une flèche qui tourne dans le ciel, me rappelant encore une fois du cyprès.

Callow, Philip. «Chapitre 12: l'asile." Vincent Van Gogh, Une vie ("Chapter 12: Asylum." Vincent Van Gogh, A life). Ed. Ivan R. Dee, Inc. Chicago, 1990. 239-262.

Forster, E. M. "Ne pas regarder les photos." Rencontres: Essais d'exploration et d'enquête ("Not Looking at Pictures." Encounters: Essays for exploration and inquiry). Hoy, Pat C. II and Robert DiYanni, eds, Second edition New York: Mc Graw-Hill, 1997. 261-263.

Forster, E. M. "La raison d'être de la critique dans les arts." Vive la démocratie Deux ("The Raison d'Etre of Criticism in the Arts." Two Cheers for Democracy). Ed. Harcourt, Brace & World, Inc. New York, 1951. 107-123.

Sontag, Susan. "Contre l'interprétation." Un monde d'idées: des lectures essentielles pour les auteurs des collèges ("Against Interpretation." A World of Ideas: Essential Readings for College Writers). Ed. Lee A. Jacobus. Boston: Bedford/St Martin's, 1998. 754-765.

Weschler, Lawrence. «Inventer la paix." ("Inventing Peace.") The New Yorker. Ed. of November 20, 1995.


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